La France sous surveillance
Le modèle démocratique est mort et j'ai de plus en plus le sentiment que les gens qui ont le pouvoir et aiment leur pouvoir le sentent de plus en plus, inconsciemment ou non.
Je vais être impolitiquement correct, mais je n'ai jamais été "charly". Même si j'ai mal pour les familles des vies inutilement perdues, même si l'"Hebdo" est le parangon de la bêtise absolue et qu'il ne méritaient pas cela, il y a trop d'incohérence, surtout avec cette parade républicaine qui lui a fait aussitôt suite et si bien organisé en aussi peu de temps. Et pouf, la loi R....
Avec l'IT, une mesure implique toujours un contre-mesure. Cela a commencer avec la Dadvsi, ensuite l'Hadopi qui n'était rien d'autre qu'un cheval de Troie pour la Lopsi qui elle, par chance, n'est pas passée (enfin, maintenant c'est fait, puisque la loi R est quasiment un copié/coller en pire). Résultat, un monde de plus en plus chiffré, des données de plus en plus difficiles d'accès et un casse-tête de plus en plus inextricable pour ceux qui cherche vraiment les truands.
Conclusion à cela, l'utopie d'un monde sécurisé n'est rien d'autre qu'on monde d'insécurité croissante développée par ces même mesures de soit-disante sécurité, le tout enrobé dans une peau de chagrin des droits fondamentaux de l'être humain.
Le vote ne sert à rien, la révolution pas beaucoup mieux. il serait meilleurs de tirer au sort les députés plutôt que d'avoir ces bandes de charognards qui, croyez-le ou non, ont un jour été certainement des gens de foi avec des rêves d'un monde meilleur dans la tête. Un monde sans corruption n'existe pas, on peut seulement souhaité que certaine méthode, dont cette dernière, peuvent la limité.
Cependant, tant que l'Impôt de la Dette existera puisque quelques soient leurs formes, toutes les taxes que nous versons à l'état ne servent qu'à cela, il n'y a pas de solution. La croissance et l'inflation sont des leurres entretenus par la finances spéculatives qui pour qu'elle reste riche doit avoir son quota de pauvres, et plus il y en a, mieux c'est. Donc, tant qu'il y a de la dettes mieux c'est; et nous sommes tous les esclaves de crédit.
Ainsi, l'arriviste survit et l'honnête meurt.
Je cherche pas à faire monter le débat, c'est juste le constat de toute une vie.