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Posté le 26/03/2016 à 20:07:59

24 minutes de reportage sur la Radio Suisse Romande.
Amazon, Google, Apple et Facebook, qui contrôlent déjà tant d'informations sur les usagers, qui diffusent déjà de l'information (classant, triant nos informations en fonction de ce qu'ils jugent de ce qui nous intéresse ou pas), ces géants du web, passent la vitesse supérieure dans le domaine des paiements et des crédits.
Les gamins qui auront passé leur adolescence à suivre l'actualité par Facebook, à chercher des infos sur Google, à consommer sur Amazon et à utiliser du Apple pour être cool, ces gamins-là pourront s'endetter joyeusement par l'intermédiaire de ces géants du web...

Posté le 28/03/2016 à 10:56:11

Entendu l'autre jour sur France Inter, la chronique économique du journaliste du Figaro.
Ce n'est pas de la science-fiction, c'est la chronique pépère de la quotidienne de France Inter, le ronron habituel sur le business franco-français.
Et que disait notre ami (sic) le chroniqueur à propos du départ anticipé volontaire de Henri de Castries de la direction d'Axa ?
Qu'il laissait la place à un plus jeune que lui, plus à même à faire face au bouleversement de l'assurance provoqué par l'arrivée du big data : individualisation des cotisations en cernant le profil de risque de l'assuré : nombre de déplacements, vitesse des déplacements, nourriture, santé, etc.

Merci facebook et google !

Posté le 03/04/2016 à 01:39:10

Pour ceux qui lisent l'espagnol, interview d'un officier de la police espagnole au sujet des nouvelles technologies.
http://tecnologia.elpais.com/tecnologia/2016/03/30/actualidad/1459363552_851558.html?id_externo_rsoc=FB_CC

Question : combien de permissions accordons-nous à Facebook lorsque nous installons l'apps sur un smartphone ?
Réponse : 18
Notamment, nous accordons à Facebook la possibilité de fouiller dans toutes nos données confidentielles.

Autre lien intéressant :
http://mashable.france24.com/tech-business/20160226-google-internet-framasoft?ref=fb
...avec la question suivante : "...avez-vous pensé à ce qu’il pourrait se passer si une assurance à laquelle vous aviez prévu de souscrire prend connaissance de vos
recherches sur une maladie ?"
Bonne question.
Et on peut rajouter, par exemple : "...avez-vous pensé à ce qu’il pourrait se passer si un employeur potentiel prend connaissance de vos recherches sur une maladie (ou sur les droits syndicaux) ?"
Et on peut continuer, avec un banquier, un propriétaire, etc.

Posté le 04/04/2016 à 22:17:54

Mais quand les gens prendront conscience que quand c'est gratuit c'est le produit... et maintenant même si c'est payant...

Des trucs simple mais qui fonctionnent, évitez les zéros sociaux, ayez des amis dans la réalité vraie 8)